I stand before the fall
I feel
the days are floating past
not even stirring
the threads of memory
of mine.
The madness is the weal of life, I understand.
I live for I set free thyself from mind
I raise my hands
I spread my wings
For my last flight from the rock of all doomed.
The age has come to end but I still live
For I am nought.
Thy name is lost in darkness
where only shadows may read it on the gates of time.
The sand of life streams through my fingers
My cry could have broken the yarn of heaven
But words untold smother my breath.
I can do nothing I laugh to death...
L'obsidienne est une roche de couleur noire et son aspect vitreux absorbe le regard ; mais sous la lumière, elle produit de magnifiques reflets arcs-en-ciel. C'est ce degré de magnificence qu'Obsidian Tongue vise dans A Nest of Ravens in the Throat of Time. Si la production est toujours rugueuse, le duo américain met l'accent sur les mélodies, plus profondes et mélancoliques. Progressives, les pistes se rallongent et se condensent. Un bel opus qui frôle, sans l'atteindre encore, la perfection ! Jordan Vauvert
It's haunting. It's chaos. It's energy. It's fatigue. It's happiness. It's sadness. It's love. It's hate. This is close to the perfect black metal album for me. Marcello Velasco
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert